Enfin enfin
Je peux perdre mon temps
petite éternité par petite éternité
Endlich endlich
darf ich die Zeit vertun
Weilchen um Weilchen
Unendlichkeiten lang.
Agathe Mareuge, met en lumière la spécificité et l’inventivité de sa poésie des années cinquante et soixante, au-delà de Dada, en lien avec son œuvre graphique et plastique.
Lecture bilingue Jean Lorrain et Aline Martin,
Musique Romain Pivard
Partenariat entre les associations Jean Hans Arp et A livre ouvert… wie ein offenes Buch
Présentation de l’ouvrage: http://www.lespressesdureel.com/ouvrage.php?id=7160&menu=