De « La langue perdue des Alsaciens, à « Quand j’étais petit, j’étais catholique » avec humour et détachement, Pierre Kretz, d’une manière presque scientifique, nous rapporte comment on se construit parfois !
« Il s’agit moins d’un regard sur l’Alsace que de la façon même de la regarder. »
Il remonte de ce qui est souvent sous nos yeux, quasi usuel, vers sa secrète fabrication. Il arrive à déplacer les enjeux. Et, si on écoute bien, ces enjeux sont étonnamment bien ailleurs et aujourd’hui.
Une lecture en musique, avec François Wolfermann, Aline Martin et Romain Pivard au saxophone
Une proposition A livre ouvert/wie ein offenes Buch
Avec le soutien de la Ville de Strasbourg, la Région Grand Est, la DRAC Grand Est et du Département du Bas-Rhin